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"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011
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Autorités sanitaires suisses, juin 2011
"L’absorption de BPA par le biais d’aliments ne présente pas de risque pour les consommateurs"
Autorités sanitaires suisses, juin 2011

Perturbateurs endocriniens et bisphénol A (BPA)

Certaines substances naturelles et artificielles peuvent présenter des propriétés similaires aux hormones. Les substances naturelles sont appelées «phyto-estrogènes», celles artificielles sont appelées "perturbateurs endocriniens", bien qu’elles ne remplissent pas toutes les conditions de la définition du perturbateur endocrinien.

Selon la définition Weybridge, qui est largement acceptée, le Bisphénol A (BPA) n’est pas un perturbateur endocrinien, car il ne présente aucune preuve reproductible d’effets nocifs résultants de propriétés similaires à celles des hormones.

Comme beaucoup de substances naturelles et de denrées alimentaires de la vie quotidienne, le BPA présente une activité très faible similaire à l'œstrogène, et uniquement à de très hauts niveaux d'exposition auxquels les êtres humains ne peuvent pas être exposés. Cette activité similaire à l’œstrogène est mesurable et reste significativement inférieure à celle des phyto-estrogènes naturels, comme les haricots de soja ou les carottes.

Des histoires effrayantes sur la nécessité d'éviter le plastique en polycarbonate ou les résines époxydes, afin de ne pas encourir les effets néfastes pour la santé du BPA, continuent d'être publiées. Mais aucun de ces effets indésirables sur la santé n'a été prouvé. Les conclusions des études scientifiques relatives au BPA sont claires : les consommateurs sont exposés à des doses très faibles et il n'y a pas de risque pour l'homme, la faune ou l'environnement lié aux produits plastiques fabriqués à base BPA dans leur usage prévu

Des études robustes et multi-générationnelles sur animaux ont montré que la reproduction humaine et le développement ne sont pas affectés par des expositions à des doses réalistes de BPA (par rapport aux niveaux extrêmement bas de l’exposition potentielle des consommateurs). Ces études couvrent un large éventail de paramètres qui permettent de détecter les perturbations du système hormonal.

Plus d'informations (en anglais) :